vendredi 17 avril 2009

Synthèse


Pour la dernière discussion, nous avons décidé de jouer la note d’une façon moins conventionnelle pour que ce soit plus intéressant. De plus, on trouvait qu’une mise en scène apporterait une certaine organisation au déroulement de la discussion et que ça serait plus dynamique. On sait basé sur l’émission ‘’Deux filles le matin’’, car c’est un programme où les discutions portent toujours sur les choses du quotidien alors ce type d’émission s’apprêtait très bien à notre atelier final. Alors, notre scénario s’intitulait ‘’Deux profs le matin’’ et nous avions deux animatrices qui abordaient deux sujets différents par rapport à l’éducation au Québec et elles avaient comme invités différentes personnalités entre autres une directrice, des parents, des élèves, une intervenante etc. Nous avons parlé du port de l’uniforme dans les écoles secondaires ainsi que de l’effet de l’utilisation des médicaments sur les jeunes.

Comme je l’avais constaté avec les autres ateliers faits ultérieurement, la préparation est le point le plus important pour ce type de travail. Il faut prendre connaissance du sujet, car plus on a d’informations sur la matière et plus facile sera l’argumentation. Pour ce faire, je n’ai pas pris de chance et j’ai lu deux fois mes textes. La première fois, j’ai approfondi mes connaissances sur les deux sujets choisis par la suite, j’ai réviser les textes selon le point de vu de mon personnage. Moi, je fessais partie de la discussion du port obligatoire de l’uniforme dans les écoles et mon rôle portait sur une adolescente qui voyait cette nouvelle réglementation d’un point de vue positif. Cependant, comme nous avions préétabli un scénario je n’avais pas crée de questions comme je l’aurais fait à l’habitude. Donc, le matin de la présentation, en discutant avec mes collègues, je me suis rendu compte qu’il y avait certains points que je n’avais pas prévus. Si je m’étais préparé des questions comme j’avais l’habitude de faire je n’aurais sûrement pas eu ce problème. En effet, pour créer des questions on doit s’interroger soit même sur le sujet et cela nous amène à voir les choses d’une autre manière.

Avec un peu de recul, j’ai remarqué une nette amélioration au niveau de mes compétences oratoires. Je peux dire que mon plus grand progrès s’est fait au niveau de la compétence linguistique, car au départ j’avais plusieurs fautes de vocabulaire et des problèmes avec la formulation de mes phrases. J’ai fait de gros efforts au niveau de l’utilisation du vocabulaire, mais il y a encore place à amélioration dans l’énonciation de mes idées. De plus, j’essaie de réglé ce problème autant dans mon quotidien parce que cela à des répercutions directes sur ma performance scolaire. La compétence discursive a toujours été un de mes points forts, car je suis une personne qui s’intéresse à tout et j’aime faire des liens avec d’autres évènements ce qui amène de riches arguments. Pour ce qui est de la compétence communicative, à l’avenir, je devrai faire attention de mettre plus d’intonation pour que mes arguments soient encore plus percutants. Alors, si je compare ma performance aux premiers ateliers, je vois une grande amélioration, mais il y a encore quelques points à travailler avant d’être un locuteur de renom.

À la deuxième partie du cours, nous avons vu la partie de l’écrit. Nous avons survoler les types de textes tels qu’argumentatif et descriptif. De plus, nous avons révisé la grammaire de base ( les accords avec le groupe nominal et verbal, les types de structure de phrase, le lexique…) On s’est servi de cette révision pour corriger de nombreux textes d’élèves et ainsi décortiquer tous les éléments de la grammaire. Comme ce sont de jeunes étudiants, il y a souvent des incohérences et de mauvaises structures de phrases. Puisque nous sommes pas très expérimentés avec les formules de correction, il est difficile à certains moments d’identifié à quel code ce réfère les erreurs commissent. Par contre, je trouve que les exemples présentés dans le recueil de notes p.182-216 illustrent très bien toutes les règles du code Pré- fontaine.

Pour être honnête, j’avais l’impression de perdre mon temps et de retourner cinq ans en arrière dans mes cours de français. Par contre, avec un peu de recule, je me rends compte que ce n’est pas pour nous nuire, mais simplement pour nous rafraîchir la mémoire, car d’ici trois ans nous serons avec les jeunes du secondaire et c’est nous qui devrons les éduquer. Au départ, je me disais : pourquoi moi, future enseignante en art plastique, je devrais apprendre à corriger des textes d’adolescents quand mon mandat sera de développer leur côté artistique? Maintenant, je me dis, comment je vais pouvoir être un exemple si je ne suis même pas capable de repérer leurs fautes! Je dois maîtriser la langue française si je veux être une bonne professeure et cela se répercutera directement sur ma performance oratoire. Maintenant, je me rends compte que j’aurais dû suivre le cours plus au sérieux, mais j’ai quand même appris quelques éléments essentiels qui vont m’accompagner tout le long de mon parcours. En quelques semaines seulement, je vois que j’ai fait beaucoup de progrès au niveau de la qualité de mon français. Par contre, comme il a été mentionné au dernier cours, il serait très intéressant d’intervenir avec des textes qui touchent directement notre concentration, nos rédactions et exercices pourraient être : des simulations de lettres aux parents, comment bien formuler ses phrases quand on aborde les élèves, lettres adressées à la direction… toutes les choses du métier qui semblent secondaire, mais qui est important.

Bon été à tous

Recharger bien vos batteries pour le trimestre prochain!!!!

mardi 31 mars 2009

Réflexion sur le cours

Premièrement, je ne m’attendais pas à une formule comme celle-ci pour ce cours. Je croyais que ça ressemblerait plus au cours de laboratoire d’initiation, où l’on aurait fait des présentations orales devant la classe, mais où l’on aurait mis l’emphase sur la qualité de la langue. Je trouve que les sujets de débats étaient bien, mais que la forme laisse à désirer. Ces rencontres me faisaient penser aux discussions que nous avons entre collègues à la cafétéria, je trouve que c’était très basic comme programmation.

Par contre, j’ai beaucoup aimé la façon dont le professeur présentait la matière. Souvent, elle nous donnait des exemples concrets de son expérience personnelle en tant qu’enseignante au secondaire. De plus, elle utilisait fréquemment des appuis visuels pour illustrer la nouvelle matière et je trouve que ces extraits étaient captivants et bien appropriés aux sujets. Comme lorsque je pense au vidéo du premier ministre pour démontrer l’importance de l’expression et de l’intonation dans un discours ainsi que la force du non verbal. Ou encore, l’entrevu de l’époque faite sur les jeunes qui sortaient dans un bar de Montréal, on pouvait clairement voir l’influence et l’image projeter face à l’utilisation de certains registres. Dans mon cas, ces exemples ont été les moments forts du cours, car j’ai vraiment été interpellée par la matière. Sinon je trouve que c’était surtout de la révision des cours de français du cégep. Cependant, les éléments étaient apportés de manière différente pour que nous pussions les utiliser à profit lors de nos présentations futures.

Ayant fait mes études dans les arts visuels, j’ai eu seulement les cours de bases en français. Alors, j’ai beaucoup aimé le cours sur l’apparition de la langue française. Je peux dire que j’ai eu un petit velours en apprenant que nous les Québécois parlons en quelque sorte le français d’origine et que nous n’avons rien à envier au Français.

En somme, j’espère que le plan de cours sera révisé pour la prochaine année, car il y a quelques petites lacunes et je ne crois pas être la seule à penser cela du cours. Je crois que les discussions devraient être adaptées pour mieux nous préparer pour les présentations où nous devrons faire part de nos idées, de la matière à beaucoup plus de personnes à la fois, car j’avais sincèrement l’impression de perde mon temps et mon argent.







Je n’étais pas présente au cours suivant, mais une de mes collègues m’a informée de ce qui c’était passé. De plus, avec les documents qui ont été distribués, j’ai pu prendre connaissance de la nouvelle matière (phonétique) que j’ai trouvé très intéressante d’ailleurs. Se sont des notions donc je n’avais jamais porté attention auparavant et qui peut s’avérer utile à certains moments.

Au quatrième cours, nous avons travaillé sur les grilles d’évaluation, on a regardé un vidéo où des étudiants du secondaire faisaient leur orale sur un livre qu’ils avaient lu. Il fallait prendre en compte plusieurs points pour bien évaluer leur performance. Après ce visionnement, je peux en déduire que la qualité d’une prestation tout âge confondu réside dans la préparation de l’orateur. Dans ce vidéo, on a pu voir que tous les élèves connaissaient leur histoire, mais on voyait très bien les équipes qui avaient une structure préétablie ou un petit scénario. Leur discours était plus clair et plus fluide tandis que les élèves qui improvisaient en quelque sorte avaient plus de difficulté, car il avait beaucoup d’hésitation ou de répétition dans leur message. J’ai bien aimé cet exercice, car je trouve qu’on n’était dans un contexte réel. Pour la deuxième partie du cours, nous n’avons pas fait notre discussion comme d’habitude, car il manquait la majorité de l’équipe. Nous avons simplement discuté entre nous des textes lus.

Cours 2 : 16 janvier

Au deuxième cours, notre sujet de conversions portait sur les troubles d’apprentissages, comme nous n’étions pas vraiment habitués avec la nouvelle formule, personne de c’était préparé de questions. Alors, nous avons perdu un temps fou à tout mettre en place pour cette première séance. Avec cette mauvaise préparation, nous avons fait place à l’improvisation et dans mon cas ça moins bien fonctionné. J’avais beaucoup de travail à faire au niveau des compétences linguistiques et discursives. Lors de l’expérience, je peux dire que j’utilisais de bons arguments, mais pour améliorer mon discours je devrai faire attention à la formulation de mes idées. De plus, je devrai surveiller le vocabulaire que j’utilise, car mes mauvaises habitudes ont tendance à prendre le dessus. Je crois que ces deux points vont être mon défi tout au long de la session. Le moyen que je prévois utiliser pour y remédier est une meilleure préparation face au sujet, comme ça je ne serai pas prise au dépourvu avec les questions posées et mon discours sera beaucoup structuré. À l’avenir, je devrai participer plus à la discussion et faire attention à mon ton de voix, mais je crois que ces points seront faciles à corriger.

Cours 3 : 23 janvier

Pour le troisième cours, nous étions beaucoup mieux préparés et chaque membre de l’équipe avait préparé plusieurs questions. Notre conversation portait sur les garçons à l’école, à savoir s’il y avait vraiment une différence au niveau de l’apprentissage chez les garçons comparés aux filles. J’ai bien aimé participer à la discussion, car je faisais l’animation, c’était différent de l’expérience précédente. Je m’étais améliorée comparativement à l’autre séance, mais il reste encore quelques points à revoir. Encore une fois, je n’ai pas parlé beaucoup, mais comme c’est moi qui posais les questions je n’étais pas portée à me répondre. :) J’essayais d’apporter des idées diversifiées pour avoir une discussion intéressante. Ma plus grande faiblesse cette fois a été dans la compétence linguistique, où j’utilisais fréquemment le ‘’EE…’’et le ‘’pis’’. À l’avenir je devrai faire attention aux mots de transition que j’utilise, car très souvent mes erreurs découlent d’une mauvaise utilisation de ceux-ci. Malgré tout, je suis satisfaite, car j’ai moi-même remarqué une amélioration au niveau de l’ensemble de ma prestation. Comme je m’étais préparée en conséquence et que je connaissais mieux le sujet, mon discours était plus fluide et plus captivant que la première fois.

Cours 1 : 9 janvier


Lors de notre première rencontre en équipe, nous avons fait le point sur le déroulement des prochains cours et sur l’utilisation des grilles de correction. De plus, on s’est attribué chacune personne à évaluer tout au long du trimestre. Je peux dire qu’au premier cours j’étais un peu confuse avec les procédures à suivre pour les ateliers de discussion, mais après notre première tentative toutes les pièces du puzzle se sont remises en place.